Nos actions passées

  • Rechercher

Autres - Agence française de développement (AFD) – Stratégie dans les régions Eurasie, Proche et Moyen-Orient et Asie

mercredi22mars

Agence française de développement (AFD) – stratégie dans les régions Eurasie, proche et Moyen-orient et Asie

avec M. Cyrille BELLIER, directeur du département Orient(s) de l’AFD

présidée par M. Jean LEMIERRE, président de BNP Paribas et président du conseil d’entreprises France-Turquie de MEDEF International

Créée en 1941, l’Agence française de développement (AFD) est un établissement public qui met en œuvre la politique de la France en matière de développement et de solidarité internationale. Le Groupe AFD est aujourd’hui présent dans 115 pays et intervient sous la forme de prêts (en majorité), subventions, garanties, prises de participation, expertise ou assistance technique accordés à des États, collectivités locales, entreprises, fondations ou ONG. En 2021, le Groupe AFD a engagé 12,2 Mds EUR – dont la moitié pour le continent africain – dans le cadre de 995 projets. Près d’un tiers (3,5 Mds EUR) a été alloué à la géographie « Orients ».

Pour rappel, dans le cadre de la mise en place de sa nouvelle stratégie pour la période 2018-2022, l’AFD a aussi fait évoluer sa grille de lecture du monde en définissant de nouveaux espaces d’action : (i) « Tout Afrique », (ii) « Trois océans », (iii) « Amériques » et (iv) « Orients » – pour un dialogue avec les émergents et où se situe une part significative des enjeux de la transition bas carbone. Cette dernière région englobe l’Eurasie (direction régionale basée à Istanbul), le Proche et Moyen-Orient (Beyrouth), l’Asie du Sud (New Delhi), la Chine (Pékin) et l’Asie du Sud-Est (Bangkok).

 

Dans ce contexte, cette réunion a été l’occasion de partager les réflexions/visions du secteur privé sur trois sujets :

  • Retours d’expérience : défis rencontrés en matière de préparation, structuration et financements de projets ;
  • Investissements prioritaires pour encourager le développement socio-économique durable des États concernés ;
  • Pistes d’action pour faciliter la coopération et l’échange d’informations avec le secteur privé français actif sur les géographies « Orients ».